On continue à en parler… Alors que la polémique sur les coiffes et capsules en Champagne illustre la complexité de concilier tradition, protection des appellations et innovation durable en partenariat avec Crealis, Leader mondial des solutions de bouchage pour les vins et spiritueux, un laboratoire a mené une étude pour comprendre la contamination bactériologique sur les bagues des bouteilles de vin, avec et sans capsule. Cette recherche visait à évaluer l’efficacité des capsules et coiffes en tant que barrières hygiéniques.
Pour cette étude, Crealis a fait appel au CSI (Centre de Certification et d’Analyse de Conformité). Les tests ont comparé des bouteilles de vin avec et sans capsule et coiffe, en les immergeant dans un environnement contaminé par diverses bactéries pathogènes telles que Escherichia coli et Staphylococcus aureus, ainsi que par des moisissures comme Aspergillus niger et Penicillium funiculosus.
Des prélèvements ont été effectués sur les bagues des bouteilles et les capsules pour observer le développement microbien. Les résultats ont montré une absence totale de contamination sur les bouteilles munies de capsules et coiffes, contrairement aux bouteilles sans protection où une croissance microbienne intense a été observée sur toute la surface échantillonnée.
Selon l’étude ces résultats démontrent que les capsules et coiffes agissent comme des boucliers hygiéniques indispensables, protégeant les bouteilles de vin des contaminations depuis la mise en bouteille jusqu’à la consommation. Elles jouent un rôle crucial, non seulement pour le consommateur mais aussi pour le producteur, en assurant la qualité et la sécurité du produit.
Michele Moglia, PDG du groupe Crealis, souligne: « La capsule et la coiffe ne sont pas simplement des éléments esthétiques mais une protection sanitaire essentielle. Leur efficacité est telle que des appellations comme le Champagne et le Prosecco les ont rendues obligatoires. »