Le plus souvent, la veille du week-end, je rédige un post à propos d’une petite histoire « people » pour faire briller vos yeux avec des stars. Aujourd’hui l’ambiance générale particulièrement « plombante » (sans oublier le temps) est pourrie, les étoiles me semblent bien ternes. De fait, « le virus ne circule pas tout seul, c’est l’homme, porteur du virus, qui circule » dit la doctrine nationale. Et pourtant on peut encore sourire …Il suffit de voir notre air emprunté devant une situation qui nous dépasse : on ne peut plus se faire la bise ! Ni même se serrer la main. Un crève-coeur, car rappelons-le parfois en Champagne-Ardenne, c’est « quatre bises ! »
Si on suit les recommandations du ministère des Solidarités et de la Santé face au Coronavirus COVID-19, les gestes dit « barrières » sont clairs : se laver les mains très régulièrement; Tousser ou éternuer dans son coude. Saluer sans se serrer la main, éviter les embrassades. Et les Champenois suivent ces préceptes à la lettre. A raison, sachant que les salariés, visiteurs, distributeurs, journalistes …viennent ou ont été à l’Etranger, mieux vaut prévenir…
Outre le salon Prowein reporté, les voyages (et James Bond !) ajourné ou les flux logistiques ralentis, il faut penser à la vie de l’entreprise et dans l’entreprise « Champagne ». Ainsi j’ai assisté à une soirée où les hôtes faisaient de leur mieux pour éviter les embrassades en jouant du coude ou du pied pour saluer près de cent journalistes venus du monde entier, « les ordres sont donnés d’en haut » dit-on. On veut bien les croire (en espérant que ce n’est pas du très très haut ! ). Certains maisons ont annulé des voyages voire défendu à leurs cadres de voyager. Bien sûr pour éviter qu’ils tombent malade, mais pour éviter également qu’à leur retour, certains restés « au pays » évoquent alors un droit de retrait. Et si on passe au stade 3, il faudra alors aussi penser « notre » Printemps des Champagnes (c’est en avril prochain) avec sa vingtaine de manifestations, car à ce niveau-là, les rassemblements et des activités collectives pourraient, peut-être, être restreints. Je l’ai évoqué en début d’article, : ce n’est pas la joie ! Mais je vous fais un gros bisous via mon clavier (que je viens de nettoyer…)
NB : ne maîtrisant pas les aléas et mystères de l’informatique, il est évident que les articles « similaires » ne sont pas en rapport avec mon post ! Ça va mieux en le disant !!!