C’est donc le déconfinement. Et c’est encore une autre façon de vivre, et d’autres questions qui se posent. On peut accueillir cent personnes chez soi, mais on ne peut pas aller au restaurant, on ouvre les métro, mais on ne peut pas s’allonger sur la plage, on veut des masques, mais il n’en a pas…beaucoup, bref le quotidien de l’après n’est pas aisé à gérer. Dans une autre mesure, la situation semble un peu identique en Champagne : en cette période de crise, l’appellation n’est pas évidente à administrer. Rendements, vendanges, exonérations, distillation, expéditions…Avec les désidérata de chaque famille champenoises (chacun ne voyant pas le même midi à chaque porte !), les décision ne sont évidemment pas simples à prendre. Allez, voici le récapitulatif de la semaine :
Décision historique du Comité Champagne : suspension du marché du vin sur lattes et report des paiements “raisins” (lire ici)
Trois mesures pour le plan de sauvetage de la filière vin (lire ici)
Soutien à la filière vin : l’enveloppe de 100 millions d’exonérations est” insuffisante” selon Maxime Toubart (lire ici)
Le “Message in the bottle” du champagne de Venoge (lire ici)
Les chiffres des expéditions de champagne du mois de mars : -21, 9%(lire ici)
Vranken-Pommery Monopole décale ses paiements “raisins” (lire ici)
Des idées en Champagne : la “Gazette” du champagne Henriet-Bazin pour “garder le lien”(lire ici)
Les chambres d’hôtes du manoir Henri Giraud (Aÿ) rouvrent leurs portes (sous sécurité sanitaire) (lire ici)
La consommation de vin des Français est à son niveau historique le plus bas (lire ici)